Les Retrouvailles Après L’Abstinence – Partie 2

J’étais donc face au mur dans le mobil-home, les bras tendus vers le mur, en train de me faire sodomiser par Alain quand, il a fait la chose à laquelle je ne pouvais même pas m’attendre : il a placé un sac de glace sur mes parties génitales. J’étais en pleine montée d’orgasme quand il a pressé un sac rempli de glaçons sur mes couilles !

A peine l’effet de surprise passé, Alain a surenchéri dans la stupéfaction en dégainant de l’autre main un truc en métal. Toujours en train de me demander ce qu’il se passait, je n’ai rien pu dire ni faire avant de réaliser qu’il était en train de m’enfiler une cage de chasteté pour homme. Il a profité de l’effet de la glace sur mon pénis pour faire passer l’anneau autour de mes testicules et glisser mon pénis flaccide dans l’étui. Il a verrouillé le tout par un petit cadenas.

J’étais abasourdi. J’essayais de comprendre ou de trouver un sens à tout ça, mais je n’y arrivais pas. Quand j’ai « repris conscience » j’allais le dire ce que je pensais de tout ça et lui ordonner de me l’enlever ; mais il m’a saisi par les bourses pour me faire mettre à genoux. Sous l’effet de la douleur je me suis agenouillé et une fois à quatre pattes, je me suis à nouveau fait sodomiser, avec brutalité. A ce moment là, je ne pouvais pas ressentir de plaisir tellement j’étais en colère. Mais son comportement de dominant à fait mouche :

- Qu’est ce que tu fiches ? Enlève moi ça tout de suite !
- Pas tant que j’en aurai fini avec toi !
- Arrête ! Pas comme ça ! Tu me fais mal !

Il m’attrapa par la gorge et releva mon tronc contre son torse et me lécha le cou. Il m’a alors chuchoté à l’oreille :
- Cette semaine, tu es mon soumis. C’est moi qui décide si et quand tu jouis. C’est mon plaisir qui compte pour toi et je te prendrai où et quand je voudrai.
- Arrête… ce n’est pas comme ça… que j’avais envie… qu’on se retrouve
- Je crois que c’est ce dont tu rêves en secret ; d’être un soumis total, dévoué corps et âme à son maître.

Tu sens ma queue qui remue dans ton cul ? Dis moi que tu aimes que je te prenne brutalement.
- J’aime… être…
- Cette semaine, tu n’éjaculeras pas une seule fois. Tu sais pourquoi ?

Je commençais à vraiment flancher, le sevrage de sexe me faisait répondre ce qu’il voulait.
- Pourquoi ?
- Parce que tu es une salope. Et le salopes jouissent du cul. Ce sont les bites des mâles qui les pénètrent qui éjaculent. Tu ne penses pas ?
- Si !
- Tu veux être ma salope cette semaine ?
- Oui, je le veux, je le suis.
- Tu veux garder la cage de chasteté ?
- Oui !
- Je vais te baiser toute la semaine et tu l’accepteras à chaque fois.
- Oui ! Oui ! Oui ! AAAAAH Je jouis du cul !
- Je vais jouir moi aussi. Tu le veux dans ton cul ou dans ta bouche ?
- Dans la bouche ! Ca fait tellement longtemps !

Il m’a alors donné quelques derniers coups de rein, il s’est présenté debout devant moi. A genoux, j’ai ouvert la bouche pour recueillir son sperme. Il a finalement joui. Une quantité hallucinante, causée par les semaines d’abstinence. J’en ai eu partout sur le visage et dans la bouche. Un régal. On s’est écroulé par terre ; il a frotté sa bite sur mon visage pour ramener toute sa semence dans ma bouche puis il m’a fait le sucer, pour que je m’assure que ses couilles soient bien vides.

Un fois reposé, il m’a fait comprendre que ce n’était pas une blague, que j’allais devoir me plier à ses désirs et que pour cela, il voulait que je reste nu toute la semaine ; la vue de ma verge engoncée dans la cage l’excitait. C’est donc ainsi que pendant une semaine, Alain m’a baisé partout dès qu’il le voulait : sur la table à manger, dans le lit, sur le mur, dehors... Il avait des pulsions sexuelles qui semblaient inextinguibles.

Pendant cette semaine, Alain m’a pénétré très souvent. Mais ce ne fut pas la seule source de plaisir que j’ai ressentie. Ce jeu de soumission que m’imposait le port de la cage de chasteté, cette contrainte est devenue une source de plaisir et je suis passé par 3 phases.


Tout d’abord, j’ai été très partagé sur le sujet. D’une part, j’aimais le jeu de soumission auquel je m’adonnais, pouvoir être pris par derrière quand bon lui semblait. D’autre part la cage me gênait (j’éprouvais une forme de répugnance à me voir dans un miroir) et elle me faisait mal par moment, surtout quand il tirait sur mes couilles pendant les coïts. Ces sentiments contradictoires se retrouvaient également quand il me faisait jouir : un plaisir anal mais une douleur au niveau des parties génitales qui malgré l’excitation ne pouvaient grossir. Il m’arrivait alors de crier, tantôt de plaisir, tantôt de douleur.

Puis, ces sensations se sont mélangées : je tirais du plaisir de la frustration que me causait la cage. C’était comme si je ne pouvait plus bander ; comme si ma condition était assimilée et que je ne pouvais ressentir de plaisir que pas l’anus et que ma verge ne me servait plus qu’à uriner. La douleur était là pourtant, mais c’était bon. Il m’arrivait même de lui demander de me malaxer les couilles. Ou alors, quand il était allongé, je m’allongeais sur lui, face à face, et je frottais mon scrotum contre son pénis et ça me faisait décoller.

Enfin, vers la fin, c’était comme si je n’avais plus de pénis, ou plutôt que j’en avais un, mais le sien. J’avais l’impression de ressentir tout ce que sa queue ressentait. Je tirais du plaisir à le réveiller par une fellation, en mettant entièrement son pénis dans ma bouche et le sentir gonfler car c’est comme si le mien gonflait. Des fois, il s’asseyait au bord du lit ou d’une chaise, écartait les jambes complètement, et je venais placer ma tête entre ses jambes pour le sucer. Je léchais toute cette zone de son corps : sa bite, son scrotum auquel je plaquais ma bouche et mon nez pour en lécher tous les recoins, le périnée. Je léchais les plis que ses cuisses et son ventre faisaient au niveau du pubis. J’étais fou de tout son pubis que je léchais, sentait, auquel je frottais mon visage sans qu’il n’ait à dire quoi que ce soit.


Au final, j’étais devenu, le temps d’une semaine, sa femme soumise. Il a adoré et j’en ai tiré beaucoup de plaisir. Le dernier jour, il m’a retiré la cage. Il m’a massé la verge, ce qui était très douloureux et long car elle ne voulait pas bander. Elle s’est mise en érection et sous l’effet de sa masturbation, j’ai enfin pu éjaculer tout mon saoul. C’était à la fois douloureux et libérateur.

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